Phobie sociale, anxiété sociale et trouble de la personnalité évitante

Bonjour à tous,

Je suis Marion, 23 ans, étudiante en journalisme à Paris. Je souhaite réaliser un reportage sur les phobies sociales, car ces troubles sont très peu connus et traités. Et pourtant, il me semble important d'en parler. C'est un véritable handicap dont on sous-estime l'importance.

Je sais que ce n'est pas facile pour vous de faire des reportages, et je le comprends très bien. Toutefois, j'aimerais vraiment rencontrer l'un d'entre vous. Ce serait en petit comité (vous, ma camarade et moi), dans l'endroit de votre choix (mais vers Paris...). Surtout, ce reportage est un exercice. Il ne passera donc pas à la télévision, ne vous inquiétez pas.

L'un d'entre vous serait-il d'accord pour nous rencontrer ?

Merci beaucoup
Bien cordialement,
Marion
06.37.31.83.89
Lauriane (ma camarade)
06.79.68.87.13

Marion a écrit :ces troubles sont très peu connus et traités. Et pourtant, il me semble important d'en parler. C'est un véritable handicap dont on sous-estime l'importance.

Tout à fait !

J'aurais été motivé pour vous rencontrer, mais je suis trop loin de Paris. Bon courage et merci de tenter de nous faire sortir de l'ombre !

Florent

Pourquoi choisir la phobie sociale comme thème
Comment avez vous connu l'existence de la phobie sociale et comment avez vous eu l'envie d'en faire un reportage?
oui je sais je suis chiant avec mes questions, surtout que je ne suis pas sur Paris, mais si cela avait était le cas, avant de vouloir participer, il aurait important pour moi de connaitre vos motivations.

michel tal a écrit :je crois que ce genre de chose ,il faut d'abord l'avis de la modération, sans vouloir jouer les troubles fêtes

C'est bon c'est réglé.
Fred

Bonjour Marion,
Est-ce que cette annonce est toujours d'actualité ?
J'ai été phobique social sévère, mais je m'en suis bien sorti, et maintenant ça va beaucoup mieux.

Je pense donc que ça peut être l'idéal pour vous d'en discuter, puisque je suis vraiment moins angoissé à l'idée de vous parler que je pouvais l'être quand ma situation était vraiment dure. Mais je n'ai rien oublié de ces souffrances, et de l'état psychologique dans lequel elle nous met.

Répondez rapidement s'il vous plait.

Je vais essayer de vous appeler, mais je suis très pris en ce moment.

cordialement.